Les questions posées durant le test de citoyenneté canadienne tournent autour de la société, de la politique, de la géographie et de l’histoire du Canada. Les compétences linguistiques des candidats seront également évaluées. Une lacune à ce niveau, même minime, peut constituer un motif de refus.
Comment se passe l’évaluation des compétences linguistiques des résidents permanents
Au cours du test de citoyenneté canadienne, les compétences linguistiques des résidents permanents seront mises à rude épreuve. Pour déterminer si le candidat possède une connaissance suffisante du français ou de l’anglais, les agents de la citoyenneté utilisent les NCLC ou Niveaux de de compétence linguistique canadiens et le CLB ou Canadian Language Benchmark.
Afin d’obtenir la citoyenneté, les résidents permanents doivent atteindre au moins le niveau 4 du NCLC ou du CLB.
Il tient de préciser que le NCLC et le CLB sont la norme officielle utilisée par les agents de la citoyenneté pour estimer la capacité des résidents permanents à communiquer en français ou en anglais. Avec ces outils, les agents de la citoyenneté peuvent déterminer si ou non le candidat possède une connaissance suffisante des langues parlées au Canada.
Ainsi, l’évaluation des compétences des candidats peut se faire de plusieurs façons.
La première est l’examen approfondi des documents que le candidat joint à sa demande. Le contenu des dossiers qui lui ont été demandés sera décortiqué afin de prouver qu’il est capable de parler et de comprendre le français ou l’anglais au niveau 4.
La seconde consiste à analyser la capacité de communication du résident permanent au cours de son audition.
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